Fini les vacances, vive la rentrée, sauf pour les portes-feuilles des parents: à mesure que l’enfant grandit, la liste des fournitures scolaires devient de plus en plus longue. Aussi nous vous proposons de découvrir quelques astuces pour réussir une rentrée scolaire sans se ruiner.
Une rentrée sans se ruiner
Pour cela, la chasse aux petits prix est inévitable, mais comment faire?
La comparaison de prix reste le plus simple, mais cela nécessite du temps, il est aussi possible de faire ses achats sur http://kwebox.com/ avant de partir en vacances, ce qui permet de profiter de l’été au maximum.
Internet est aussi un allié de taille pour la rentrée: les différents sites de vente en ligne rivalisent bien avec les enseignes, plus ou moins grandes, qui ont pignon sur rue, et il peut s’avérer très avantageux d’effectuer ses achats de fournitures scolaires en ligne pour faire des bénéfices considérables.
Une autre astuce est l’élimination des marques dans la liste des effets scolaires, car ces dernières valent une petite fortune, mais rien ne les différencie vraiment des autres articles, mis à part que la facture devient plus salée.
Il faudrait juste négocier une entente avec ses enfants pour qu’ils acceptent le deal.
En plus, la loi stipule clairement que les professeurs ne peuvent en aucun cas imposer à leurs élèves une marque spécifique pour les fournitures scolaires, ce qui évitera ainsi aux enfants d’être marginalisés à l’école, et aux aux parents de réduire la facture de la rentrée.
Le recyclage reste aussi un moyen très efficace pour dépenser moins avec la rentrée.
En effet, certains livres comme les grands classiques de la littérature française restent dans le programme scolaire depuis des années et des sites spécialisés permettent d’échanger des bouquins sans débourser un sou.
Enfin, l’État contribue à sa manière, dans l’allègement des dépenses pour les parents avec l’ARS ou l’Allocation de Rentrée Scolaire et voici une bonne nouvelle de ce côté: elle a été revue à la hausse pour la rentrée 2013 avec 2% d’augmentation par rapport à l’année 2012.